Après son pénible A Star is Born, Bradley Cooper s'en sort nettement mieux avec sa seconde réalisation Maestro. Ce biopic sur le compositeur Leonard Bernstein et son épouse séduit énormément dans sa première partie en noir et blanc. La mise en scène vivante et ingénieuse opère à plein régime, alors que la chimie entre Cooper et Carey Mulligan atteint des sommets. Cela se gâche lors de la section en couleur, beaucoup plus consensuelle, qui traite d'une histoire d'amour à la dérive de façon générique et appuyée. Au moins il y a la musique qui demeure éternelle. ***1/2
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