Top 10 cinéma de 2022!

Ça y est, mon top 10 cinéma est enfin dévoilé! On y retrouve Décision de partir, Armageddon Time, Serre moi fort, Les passagers de la nuit, Aftersun, Bruno Reidal, Memoria, Eo, L'événement, The Tragedy of Macbeth et, évidemment, Drive My Car, mon film préféré de 2022. Mon palmarès détaillé est à lire sur Cinoche. 

Film du jour: 5 Centimeters Per Second

Avant de s'être fait connaître avec Your Name, Makoto Shinkai réalisait des animations mélancoliques comme 5 Centimeters Per Second (2007) qui parlait de souvenirs d'enfance disparus. Visuellement magnifique, le récit va droit au coeur même s'il est ténu. L'idéal pour faire le plein d'émotions refoulées. ***1/2

Film du jour: The Marriage Circle

Film préféré d'Ernst Lubitsch, The Marriage Circle (1924) est une savoureuse oeuvre muette sur des couples qui semblent sans cesse vouloir faire passer l’infidélité avant le reste. Malentendus, quiproquos et chassés-croisés se succèdent au tournant, alors que les personnages finissent même par se ressembler! On en redemande. ****

Les meilleurs films de 2022!

2022 aura été une autre année exceptionnelle pour le cinéma. Voici mon palmarès des meilleurs films qui ont pris l'affiche au Québec - en salle ou en ligne - entre le 1er janvier et le 31 décembre...

Mes sélections 1 à 11 seront dévoilées ultérieurement...

12. In Front of Your Face de Hong Sang-soo
13. Licorice Pizza de Paul Thomas Anderson 
14. The Banshees of Inisherin de Martin McDonagh 
15. After Yang de Kogonada 
16. Reflection de Valentyn Vasyanovych 
17. The Souvenir Part II de Joanna Hogg 
18. Petite maman de Céline Sciamma 
19. Sous le ciel de Koutaïssi d'Alexandre Koberidze 
20. Cow de Andrea Arnold 
21. Une histoire d'amour et de désir de Leyla Bouzid
22. Un monde de Laura Wandel 
23. Murina d'Antoneta Alamat Kusijanovic
24. Le rêve et la radio de Ana Tapia Rousiouk et Renaud Desprès-Larose
25. Geographies of Solitude de Jacquelyn Mills 
26. Chronique d'une liaison passagère d'Emmanuel Mouret 
27. Belle de Mamoru Hosoda 
28. Petite nature de Samuel Theirs 
29. Tori et Lokita de Luc et Jean-Pierre Dardenne

30. En route! de Panah Panahi 
31. Mad God de Phil Tippett 
32. Les intranquilles de Joachim Lafosse
33. Julie (en 12 chapitres) de Joachim Trier 
34. Nope de Jordan Peele 
35. Les innocents de Eskil Vogt 
36. La panthère des neiges de Vincent Munier et Marie Amiguet 
37. La jeune fille et l'araignée de Ramon et Silvan Zürcher
38. All the Beauty and the Bloodshed de Laura Poitras
39. Beyond the Infinite Two Minutes de Junta Yamaguchi 
40. Ouistreham d'Emmanuel Carrère
41. Illusions perdues de Xavier Giannoli 
42. Mères parallèles de Pedro Almodovar 
43. The Northman de Robert Eggers 
44. Le lycéen de Christophe Honoré 
45. Tar de Todd Field 
46. Crimes of the Future de David Cronenberg 
47. Compartiment No.6 de Juho Kuosmanen 
48. À plein temps d'Éric Gravel 
49. Great Freedom de Sebastian Meise 
50. Intregalde de Radu Muntean 
51. Une vie démente de Raphaël Balboni et Ann Sirot 
52. Les olympiades de Jacques Audiard
53. Damascus Dreams d'Emilie Serri 
54. The Batman de Matt Reeves 
55. Un été comme ça de Denis Côté 
56. Viking de Stéphane Lafleur 
57. Vortex de Gaspar Noé 
58. Barbarian de Zach Cregger 
59. Madeleine Collins de Antoine Barraud 
60. Nitram de Justin Kurzel 
61. Les magnétiques de Vincent Maël Cardona 
62. Triangle of Sadness de Ruben Östlund 
63. Incroyable mais vrai de Quentin Dupieux
64. Avec amour et acharnement de Claire Denis 
65. Frère et soeur d'Arnaud Desplechin 
66. She Said de Maria Schrader 
67. Everything Everywhere All at Once de Dan Kwan et Daniel Scheinert 
68. This Much I Know to Be True de Andrew Dominik 
69. Eternal Spring de Jason Loftus
70. Introduction de Hong Sang-soo 

Film du jour: Turning Red

Plus récente animation de Pixar, Turning Red de Domee Shi montre comment une adolescente se transforme en panda roux pendant la période de ses menstruations. Une idée merveilleuse qui est un peu plombée par une histoire prévisible et moralisatrice, des touches d'humour inégales, une bande sonore qui tape sur les nerfs, etc. Au moins l'émotion fonctionne, ce qui permet d'oublier le rendu visuel qui est loin d'être extraordinaire. ***

Film du jour: Sous le soleil de Satan

Palme d'Or en 1987, Sous le soleil de Satan est une oeuvre austère et dépouillée sur un prêtre qui doute, où Maurice Pialat convie l'esprit de Bernanos et de Bresson. D'une immense force dramatique avec ses ellipses surprenantes, le récit en est un de puissantes confrontations, notamment entre Gérard Depardieu et Sandrine Bonnaire qui trouvent des rôles exceptionnels. ****

Film du jour: Simone: Le voyage du siècle

Il fallait un film sur Simone Veil. Mais pas celui d'Olivier Dahan qui est si académique et poussiéreux qu'il est difficile de se rendre jusqu'à la fin de ses 140 longues et pénibles minutes. Et on ne parle même pas des prothèses ridicules et des raccourcis discutables. Dommage... parce que le casting est de grande qualité et le sujet, essentiel. Au cinéma. **

Film du jour: Le Petit Nicolas: Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?

Oubliez les précédentes adaptations cinématographiques du Petit Nicolas. Celle à retenir est Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?, une vivifiante animation d'Amandine Fredon et Benjamin Massoubre qui traite à la fois de l'amitié entre ses créateurs et de leurs relations avec le jeune héros. Un dessin animé intelligent et sensible qui plaira autant aux fans qu'aux néophytes. Au cinéma. Ma critique est à lire sur Cinoche. ***1/2

Film du jour: The Whale

Brendan Fraser est extraordinaire dans The Whale, amenant nuance et vulnérabilité à un homme souffrant d'obésité morbide. Le film de Darren Aronofsky n'est cependant pas à la hauteur, croulant sous ses lourdeurs et son symbolise appuyé. Ma critique est à lire sur Cinoche. **1/2

Film du jour: Tempête

Christian Duguay aime définitivement beaucoup les chevaux. Après Jappeloup, il est de retour avec Tempête, un autre drame équestre qui étouffe par ses morales et ses bons sentiments. Les scènes mouvementées sont convenables et l'interprétation potable , sauf que le scénario est si appuyé et risible que l'on finit par rire à des endroits qui ne sont pas toujours appropriés. Au cinéma. **

Pour Noël

Vous avez besoin d'un cadeau de Noël de dernière minute? Pourquoi pas un abonnement au magazine Ciné-Bulles? Le nouveau numéro cogne d'ailleurs à la porte, où je propose une entrevue du film Cette maison et un avant-plan de L'origine du mal, en plus de signer des critiques de As bestas, La nuit du 12, Rodéo et Un beau matin.

Film du jour: Geographies of Solitude

Parmi les meilleurs films québécois de l'année, il y a certainement Geographies of Solitude de Jacquelyn Mills. L'intérêt de ce documentaire environnemental hors de l'ordinaire n'est pas tant sa trame narrative (on s'intéresse à une femme qui prend soin d'une île) que son immense désir de jouer avec la forme. C'est dans cette partie que le long métrage atteint des sommets: lorsqu'il expérimente et rappelle que le cinéma est un magma d'images et de sons en ébullition. ****

Film du jour: Violent Streets

Bien avant Takeshi Kitano, Hideo Gosha s'était attaqué aux films de gangsters avec violence, absurdité et humour noir. L'intrigue de Violent Streets, tarabiscotée pour rien, n'est qu'un prétexte à la multiplication de scènes brutales. À tel point que ce sont elles qui apportent tout l'intérêt à cet exercice de style aussi décousu que savoureux. Dans quelques cinémas via Film Movement. ***

Film du jour: Samurai Wolf 2

Suite d'un film à succès, Samurai Wolf 2 (1967) d'Hideo Gosha reprend exactement la même formule, la nouveauté en moins. Les images sont toujours aussi splendides et la finale beaucoup plus tragique, mais on sent déjà son charme s'étioler. Dans quelques salles via Film Movement. ***

Film du jour: Samurai Wolf

À mi-chemin entre le films de sabres japonais et le western italien, Samurai Wolf (1966) rappelle à quel point Hideo Gosha maîtrisait les fusions de genres. L'important n'est pas l'intrigue (relativement classique) que les scènes d'action endiablées. Le tout baigne dans une photographie majestueuse, que vient constamment élever une mise en scène démentielle. À (re)découvrir sur grand écran via Film Movement. ****

Film du jour: L'homme de la cave

François Cluzet est excellent dans L'homme de la cave, campant un être séducteur aux idées dangereuses. Il fait d'ailleurs de l'ombre au film de Philippe Le Guay, qui s'avère trop verbeux et prévisible. Bien que le scénario traite de sujets importants (fake news, négationnisme), son traitement opportuniste manque parfois d'impact, transformant le récit en thriller conventionnel. Au cinéma. **1/2

Film du jour: Ernest et Célestine: Le voyage en Charabie

De retour au cinéma, Ernest et Célestine propose avec Le voyage en Charabie un récit initiatique sur la censure et la tolérance. Les personnages attendrissants tentent d'exister au sein d'une intrigue conventionnelle et passe-partout. L'animation demeure magnifique, mais le résultat marque moins l'esprit que leur précédente aventure. Ma critique est à lire sur Cinoche. ***

Entrevue: Ernest et Célestine: Le voyage en Charabie

Petits et grands seront heureux d'apprendre que Ernest et Célestine retournent au cinéma, par l'entremise de l'animation Le voyage en Charabie. Pour l'occasion, je me suis entretenu avec ses réalisateurs Jean-Christophe Roger et Julien Chheng. Mon entrevue est à lire sur Cinoche.

Film du jour: EO

Variation sur Au hasard Balthazar, Eo suit le destin d'un âne. Au lieu de l'approche dépouillée et extrêmement émouvante du chef-d'oeuvre de Robert Bresson, le film de Jerzy Skolimowski adopte une démarche sensorielle et immersive. Sa mise en scène éblouissante en met plein la vue et les oreilles, au détour d'un récit impossible à prévoir. Définitivement une des oeuvres les plus fortes de la cuvée 2022. **** 

Entrevue: François Cluzet pour L'homme de la cave

Pour une rare fois de sa carrière, François Cluzet incarne un méchant dans L'homme de la cave, un thriller mystérieux dans l'air du temps. Je me suis entretenu avec l'acteur et mon entrevue est à lire sur le site de Cinoche.

Film du jour: All the Beauty and the Bloodshed

Lion d'Or à Venise, All the Beauty and the Bloodshed de Laura Poitras est un documentaire extrêmement intéressant sur la photographe Nan Goldin. À la fois chronologique dans le développement de son parcours et politique quand vient le temps de s'attaquer à un empire pharmaceutique, le long métrage passionne même s'il s'égare. Il faut avouer que la vie de son sujet sort largement des sentiers battus, tout comme son art qui envahit constamment l'écran. En salle. ***1/2

Smile (blu-ray)

Foudroyant succès au box-office, Smile de Parker Finn débarque en format blu-ray pour faire peur pendant la période des Fêtes. (Paramount)

C'est quoi? Une docteure tente d'expliquer la mort mystérieuse de différents individus, qui affichent un large sourire.

C'est comment? Le climat de tension est palpable et Sosie Bacon - la fille de Kevin - assure dans le rôle principal.

Et pourtant? L'ensemble se veut plutôt prévisible (et redondante) et la conclusion n'est pas totalement satisfaisante.

Techniquement? Les images précises et détaillées élèvent constamment les contrastes, d'une importance capitale. Les pistes sonores immersives sont susceptibles de faire frissonner de nombreux cinéphiles.

Suppléments? Cette édition réunit un blu-ray et une copie numérique. Les bonus généralement intéressants comprennent le court métrage qui a inspiré le récit, une piste de commentaires du cinéaste, deux séquences supprimées, un documentaire sur le tournage et un segment fascinant sur la concoction de la musique.

Au final? Sans être très originale, cette production livre la marchandise, faisant hurler de rire et de peur presque à part égale. Les amateurs du genre risquent de passer un bon moment.

Ma critique est à lire sur La Presse.

Film du jour: Belle

Le cinéaste Mamoru Hosoda semble obsédé par la Belle et la Bête. Après ses excellents Les enfants loups et Le garçon et la bête, il propose Belle, campant l'intrigue dans un univers réel et virtuel. Magnifique et luxueuse, cette animation ne manque pas de morceaux de bravoures et de personnages attachants. Évidemment, il faut avoir un faible pour les chansons sucrées, mais un cinéphile adolescent n'y verra que du feux. ****

Film du jour: Belle et Sébastien: Nouvelle génération

Les épisodes de Belle et Sébastien au cinéma se suivent et se ressemblent: tout est mis au service des paysages majestueux au détriment de l'histoire, des dialogues et des personnages. C'est à nouveau le cas de Nouvelle génération de Pierre Coré qui pousse la morale environnementale encore plus loin. Pourtant, le scénario est interchangeable (cette satané division entre le monde des adultes et celui des enfants) et - le comble - il n'y a même pas de chimie entre le garçon et le magnifique chien blanc! **

Film du jour: Le lycéen

S'il a déjà traité la mort soudaine de son père par le biais de la littérature, c'est la première fois que Christophe Honoré l'aborde pas le cinéma. Il le fait d'une brillante façon par l'entremise de Le lycéen, filmant les répercussions tragiques de cette disparition sur un adolescent. Généreux (un peu trop, s'il faut se fier à la durée du récit), le film embrasse les thèmes et les humeurs avec volupté, se tenant du côté de la mélancolie plutôt que de la tragédie. La mise en scène souple qui se tient près des corps fait le reste, tout comme la dévotion des acteurs, d'une Juliette Binoche éplorée (clin d'oeil à Bleu) à Vincent Lacoste en grand frère protecteur, en passant par Paul Kircher, véritable âme et révélation du long métrage. ***1/2

Film du jour: Emancipation

Emancipation aurait pu être un drame bouleversant sur un esclave en fuite. Antoine Fuqua l'a transformé en film d'action douteux moralement. Dommage, parce que Will Smith assure dans le rôle principal. Ma critique est à lire sur La Presse. **1/2

Empire of Light (critique)

Sam Mendes est un excellent cinéaste. Il n'est seulement pas très doué lorsque vient le temps d'écrire un scénario. Sur Empire of Light (son premier script en solo), il parle platement de racisme, de maladie mentale et de cinéma, demeurant en surface et cochant toutes les cases pour attirer l'attention dans les cérémonies de prix. Malgré l'excellence des comédiens, de la photographie et de la musique, l'ennui ne tarde pas à arriver et le film ne décolle jamais. Ma critique. **1/2

Film du jour: Blanquita

Sélection du Chili pour les Oscars, Blanquita de Fernando Guzzoni s'inspire d'une histoire vraie, alors qu'une jeune femme brutalisée et abusée sexuellement par un puissant homme cherche réparation. Extrêmement sombre (le noir est la couleur dominante du récit), le suspense donne froid dans le dos, s'abreuvant à une source dont l’ambiguïté mène le bal. Un voyage au bout de l'enfer dont on ne sortira pas indemne. Présenté à L.A. et NYC. ***1/2

Film du jour: Leonora addio

Dédié à son frère Vittorio, Leonora addio de Paolo Taviani est une réflexion absurde et mélancolique sur la mort et le passage du temps. Le récit rend à la fois hommage à l'écrivain Luigi Pirandello qu'au néoréalisme italien dans sa façon de développer ses histoires. Y adhérer totalement peut prendre un certain temps, mais on se laisse rapidement bercé par les magnifiques images en noir et blanc et la musique onctueuse. Présenté ce soir au Cinéma du Musée dans le cadre de Retour en Italie. ***1/2

Film du jour: 200 Meters

Présenté à Venise en 2022, 200 Meters du réalisateur palestinien Ameen Nayfeh raconte l'odyssée d'un homme qui risque sa vie pour rejoindre sa famille qui réside à 200 mètres de chez lui, l'autre côté d'un mur israélien. Absurde et parsemé de tension, ce premier long métrage n'est pas le plus subtil, s'appuyant parfois trop sur son schéma narratif éprouvé et sa musique appuyée. L'interprétation demeure toutefois intense et la mise en scène plus que compétente pour qu'on veuille suivre de près la carrière de ce cinéaste. En vidéo sur demande via Film Movement. ***

Film du jour: White Noise

On ne pourra accuser Noah Baumbach de s’asseoir sur ses lauriers. Après l'acclamé Marriage Story, il plonge la famille américaine dans les délires de White Noise, qui alterne entre satire, horreur et thriller écologique. Le mélange de genre n'est peut-être pas toujours au point, mais l'interprétation est de premier ordre, la réalisation soignée et la prise de risques évidente. Ma critique est à lire sur Cinoche. ***1/2

Film du jour: Notturno

Quelques années après son remarquable Fire at Sea, Gianfranco Rosi est de retour avec Notturno, un autre fascinant documentaire sur des âmes secouées par les intempéries du destin et de la guerre. Visuellement splendide, ce long métrage contemplatif prend son temps pour filmer les corps et les inscrire dans des paysages d'une grande beauté plastique. À méditer malgré ses quelques redites. ***1/2

Film du jour: Rosie

Impossible d'être contre la vertu. Surtout lorsqu'une famille de constitution - une rebelle francophone blanche, un enfant anglophone autochtone et deux amies qui refusent d'être limitées par leur sexe - décide de se choisir. Malheureusement, Rosie de Gail Maurice croule sous les clichés, les morales et les bonnes intentions, offrant le minimum requis à tous les plans (scénario, réalisation et interprétation) sans jamais convaincre. **

Film du jour: Violent Night

Un film de Noël qui mélange Die Hard, Bad Santa et Home Alone? Cela s'appelle Violent Night et c'est sanglant - et stupide - à souhait. Ma critique est à lire sur Cinoche. ***

Film du jour: Au nord d'Albany

Auteure d'excellents courts métrages, Marianne Farley s'essaye au long métrage avec Au nord d'Albany avec un résultat plus ou moins convaincant. Ma critique est à lire sur Cinoche. **1/2

Entrevue: Marianne Farley pour Au nord d'Albany

Une famille prend la fuite dans Au nord d'Albany, le premier long métrage de Marianne Farley. Je me suis entretenu avec la réalisatrice et mon entrevue est à lire sur Cinoche.

Film du jour: Petite nature

Pour sa première réalisation en solo, Samuel Theirs (Party Girl) propose avec Petite nature le superbe portrait d'un enfant de 11 ans qui tente de se soustraire à sa condition grâce aux enseignements de son professeur. Brillamment écrit, le scénario échappe sans cesse aux clichés en place, suivant des chemins plus tortueux et intéressants, autant sur le plan moral que cinématographique. Aliocha Reinert offre une performance magistrale dans le rôle principal. ****