Sam Mendes est un excellent cinéaste. Il n'est seulement pas très doué lorsque vient le temps d'écrire un scénario. Sur Empire of Light (son premier script en solo), il parle platement de racisme, de maladie mentale et de cinéma, demeurant en surface et cochant toutes les cases pour attirer l'attention dans les cérémonies de prix. Malgré l'excellence des comédiens, de la photographie et de la musique, l'ennui ne tarde pas à arriver et le film ne décolle jamais. Ma critique. **1/2
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