Un des plus grands films du cinéma britannique, Distant Voices, Still Lives (1988) est un fascinant premier long métrage de la part de Terence Davies. En utilisant ses souvenirs d'enfance, il médite à la fois sur le Liverpool des années 40 et 50 que sur l'action même de se plonger dans sa mémoire, créant une oeuvre poétique inestimable, sombre et destructrice dans sa première moitié, et plus lumineuse par la suite alors que les chansons semblent capables de raviver les morts. L'interprétation et la mise en scène sont évidemment de premier plan. ****1/2
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