Plus concis que d'habitude, Hong Sang-soo propose avec Hill of Freedom (2014) un héros japonais qui ne parle pas coréen. Cela oblige donc tous les personnages à utiliser l'anglais pour se faire comprendre. Ces hésitations rajoutent beaucoup à cette délicieuse chronique douce-amère du pauvre protagoniste qui cherche sans jamais trouver une de ses amies. Les rencontres cocasses succèdent à des moments de mélancolie, alors que la forme épistolaire permet une liberté nouvelle. ****
samedi 1 juin 2019
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