Les films d'Alain Tanner se suivent et se ressemblent. No Man's Land parle toujours du mal-être généralisé, du capitalisme qui détruit les idéaux et du désir d'être ailleurs. Sauf que le scénario sur le destin de jeunes gens tourne à vide malgré la présence de superbes paysages et des mélodies imparables de Terry Riley. Le récit paraît daté bien que le propos demeure d'actualité et le manque flagrant d'humour amène une suffisance à l'ensemble. **1/2
mercredi 28 juin 2017
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