C'est un constat amer de Mai 68 qu'offre Alain Tanner avec Jonas qui aura 25 ans en l'an 2000. Le film qui multiplie les personnages et les quêtes ne manque pas de tirer sur tout ce qui bouge. Bien que le regard ne s'avère pas toujours nuancé et que les métaphores soient parfois lourdes, une réelle humanité se dégage du traitement sensible, qui trouvera un écho certain dans nos vies d'aujourd'hui. ***
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