Ugly de Juri Rechinsky - un disciple d'Ulrich Seidl, ce qui est palpable à l'écran - porte parfaitement son nom. Il s'agit d'un film difficile et pas toujours agréable sur les laideurs qui affligent des gens. Mais qui dit malheur dit également un mince entrefilet d'espoir et ce sont ces deux extrêmes qui sont constamment au rendez-vous. Le récit symbolique et déconstruit permet une immersion sensorielle et silencieuse qui pourra paraître prétentieuse et désincarnée. Ce sentiment finit par s'éclipser au profit d'une oeuvre riche qui agit longtemps après la tombée du générique. Au Centre Phi. ***1/2
samedi 13 mai 2017
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