Déjà 15 années se sont écoulées depuis la sortie de Japon, qui a lancé la carrière du cinéaste mexicain Carlos Reygadas. On se replonge dans le film avec le même état de fascination et d'hypnose envers la beauté des images et le rythme solennel qui évoque le cinéma de Tarkovski. Si l'histoire demeure bien mince, un souffle sauvage et d'âpreté emprisonne le spectateur dans une méditation perpétuelle. Un voyage loin d'être banal que l'on pourra revivre à la Cinémathèque québécoise. ****
vendredi 26 mai 2017
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