Alors qu'Après la tempête sort sur les écrans québécois, on voudra retourner dans la riche filmographie d'Hirokazu Kore-eda pour renouer avec After Life. À la fois une immense oeuvre existentielle (quel souvenir garder au moment de sa mort?) et un long métrage fort évocateur sur le septième art, ce drame d'une froideur calculée tisse des liens habiles entre le matériel et l'immatériel au détour d'une intrigue extrêmement originale. La première grande fresque d'un cinéaste qui en possède plusieurs (Nobody Knows, Still Walking). ****1/2
vendredi 5 mai 2017
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