Bien avant son immense triptyque sur la Condition humaine, Masaki Kobayashi traitait déjà des conséquences de la guerre et des rouages du pouvoir corrupteur sur les classes sociales inférieures dans The Thick-Walled Room. Pensum à la fois philosophique et politique, ce long métrage qui alterne entre le présent et le passé captive par ses discours et donne froid dans le dos dans son utilisation des ombres cauchemardesques qui semblent asservir ses personnages. On en ressort meurtri et satisfait. ****
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