Il y a des choses vraiment déstabilisantes dans Goke, Body Snatcher From Hell d'Hajime Sato. Les couleurs, les textures, le rendu sonore, la façon de se mouver du méchant, la trace qu'il laisse sur le front qui fait penser au sexe féminin, ce mélange de vampirisme, de profanateurs de corps et d'extra-terrestres marrants. Et si l'histoire n'est pas particulièrement édifiante avec ses passages obligés et son message antiguerre, il y a tout pour passer un bon moment en compagnie de ces personnages torturés. On note au passages que Quentin Tarantino n'a pu résister de lui rendre hommage dans Kill Bill 1. ***
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