Il y a une belle variété de nouveautés qui sortent au cinéma cette semaine, entre fascinants opus étrangers et chaleureux longs métrages québécois.
Poursuivant son essentielle réflexion politique sur le passé et les fantômes, Cemetery of Splendour d'Apichatpong Weerasethakul est une nouvelle odyssée hypnotisante qui ravit davantage à chaque nouveau visionnement. ****
Film le plus radical de Terrence Malick, Knight of Cups est une incroyable errance de deux heures d'un esprit qui cherche à se raccrocher au monde. Comme si Godard refaisait La grande beauté et Koyaanisqatsi en même temps! ****
Ma critique
Film le plus radical de Terrence Malick, Knight of Cups est une incroyable errance de deux heures d'un esprit qui cherche à se raccrocher au monde. Comme si Godard refaisait La grande beauté et Koyaanisqatsi en même temps! ****
Ma critique
Inédit en sol américain, Only Yesterday qu'Isao Takaha (Le tombeau des lucioles, Le conte de la princesse Kaguya) est un dessin animé sensible, touchant, mélancolique et profondément humain sur une femme qui se rappelle de sa jeunesse. Une animation pas toujours immédiate qui mérite qu'on s'y attarde et qui plaira davantage à un public mature. ***1/2
Comédie très noire sur une tentative de suicide assisté qui tourne mal, La vanité de Lionel Baier séduit avec ses très bons comédiens. Les métaphores architecturales sont peut-être lourdes, la qualité générale du scénario rachète ce faux pas. ***
Délicat premier long métrage sur la solitude qui peut affecter des immigrés de première génération, Montréal la blanche de Bachir Bensaddek s'apparente à un conte réaliste dont le soin apporté à l'interprétation et à la réalisation compense un scénario un peu trop démonstrateur. ***
Mon entrevue avec le réalisateur et un comédien
Révélateur documentaire sur des personnes sans travail qui ont de moins en moins d'argent pour subvenir à leurs besoins, Pouding Chômeurs de Bruno Chouinard aborde des sujets essentiels sans se défiler. La qualité générale de la mise en scène est toutefois bien inégale. ***
Stephen Frears qui fait un biopic sur Lance Armstrong cela donne The Program, un effort divertissant et campé par de bons acteurs qui manque cependant de transcendance et de vision pour réellement convaincre le spectateur. **1/2
Ma critique
Comédie très noire sur une tentative de suicide assisté qui tourne mal, La vanité de Lionel Baier séduit avec ses très bons comédiens. Les métaphores architecturales sont peut-être lourdes, la qualité générale du scénario rachète ce faux pas. ***
Délicat premier long métrage sur la solitude qui peut affecter des immigrés de première génération, Montréal la blanche de Bachir Bensaddek s'apparente à un conte réaliste dont le soin apporté à l'interprétation et à la réalisation compense un scénario un peu trop démonstrateur. ***
Mon entrevue avec le réalisateur et un comédien
Révélateur documentaire sur des personnes sans travail qui ont de moins en moins d'argent pour subvenir à leurs besoins, Pouding Chômeurs de Bruno Chouinard aborde des sujets essentiels sans se défiler. La qualité générale de la mise en scène est toutefois bien inégale. ***
Stephen Frears qui fait un biopic sur Lance Armstrong cela donne The Program, un effort divertissant et campé par de bons acteurs qui manque cependant de transcendance et de vision pour réellement convaincre le spectateur. **1/2
Ma critique
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