Que serait un long métrage de Fassbinder s'il ne traitait pas d'aliénation? C'est ce que propose Gods of the Plague, un triangle amoureux près de ceux que privilégiait Godard. Un film noir où le mythique cinéaste allemand s'adonnait à des expérimentations assez concluantes avec la caméra. Le résultat, abrasif, tend à laisser le spectateur en retrait, mais son souvenir hante au fil du temps. ***1/2
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire