Une petite semaine assez tranquille avec une poignée de films intéressants et d'autres à éviter.
Sans convaincre totalement, Gurov et Anna est une jolie histoire de séduction tordue de la part de Rafaël Ouellet, qui parle à la fois de désir et de littérature à l'aide de beaux comédiens talentueux. ***
Suite du même calibre que son prédécesseur Divergent, Insurgent de Robert Schwentke ne fait pas dans l'originalité dans sa façon de décrire une société du futur (bonjour le symbolisme catholique), mais le long métrage spectaculaire à souhait est nettement plus convaincant que les derniers épisodes de Hunger Games. ***
La passion d'Augustine de Léa Pool semble contenir deux films. Le premier, pertinent et joliment dessiné, où des femmes se battent contre les conventions de leur époque. Et celui, superficiel, qui contient tous les personnages secondaires et cet humour grand public qui laisse à désirer. Demi-déception. **1/2
Naïf et moralisateur, Le promeneur d'oiseau de Philippe Muyl est un conte prévisible sur une amitié entre un grand-père de la vieille garde et sa petite fille très moderne. Les jeunes âmes aimeront peut-être, les autres se contenteront des magnifiques paysages. **1/2
Réussir une comédie noire n'est pas facile et Peter Wellington n'y arrive pas totalement avec Cottage Country, où un séjour en amoureux se transforme en séance de massacre. Il y a bien quelques moments hilarants et l'interprétation n'est pas mauvaise, sauf qu'on sent une certaine lassitude émaner rapidement. **1/2
Réussir une comédie noire n'est pas facile et Peter Wellington n'y arrive pas totalement avec Cottage Country, où un séjour en amoureux se transforme en séance de massacre. Il y a bien quelques moments hilarants et l'interprétation n'est pas mauvaise, sauf qu'on sent une certaine lassitude émaner rapidement. **1/2
Film d'action vigoureux au scénario et aux individus esquissés rapidement, Tracers de Daniel Benmayor manque de subtilité et de cohérence. Reste que les amateurs du genre risquent d'y trouver leur compte. **
C'est également le cas de The Gunman, où Pierre Morel (Taken) cherche à transformer Sean Penn en héros musclé qui titre sur tout ce qui bouge. Il n'y a rien de très crédible au menu, et le simple facteur divertissement n'est même pas atteint, ce qui est le comble. **
Ma critique complète
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