Errol Morris est un des plus grands documentaristes vivants. Pour s'en convaincre, on peut retourner à ses premiers efforts où il montrait déjà un talent hors pair pour trouver des gens étranges et les faire parler à la caméra. Dans le jubilatoire Vernon, Florida (qui date de 1981), c'est une faune de personnages qui apparaissent au grand jour et qui discutent de tout et de rien. L'exercice atteint rapidement ses limites (cela ne dure toutefois que 55 minutes) et il manque de profondeur, mais on ne peut se retenir de rire devant ce qui arrive. ***
mardi 24 mars 2015
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