La Chine en pleine mutation où le passé ouvrier est remplacé par les promesses du capitalisme. Ce schéma narratif est présent dans tous les films de Jia Zhang-Ke et il est également la pierre angulaire de son très beau 24 City. Plus près du documentaire que de la fiction, cette plongée mélancolique dans le quotidien et les souvenirs de quelques individus arrive à émouvoir, solidifiant un style unique dans le septième art mondial. Il faut peut-être du temps pour s'acclimater au rythme en place, mais on finit par être happé par le train du modernisme. ***1/2
mardi 31 mars 2015
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