Il y a pas mal de tout dans Gate of Flesh: un Tokyo dévasté par la guerre avec ses habitants qui essayent de s'en sortir, des séquences lascives sur un groupe de prostituées vigoureuses, une utilisation intéressante des couleurs, une mise en scène soignée et le style unique de Seijun Suzuki qui adore choquer et provoquer. Cela donne un feu d'artifice de sensations fortes et de scènes incroyables qui surprennent constamment. ****
dimanche 29 mars 2015
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