Shinya Tsukamoto est un cinéaste excessif, dont la mise en scène vient souvent donner tout son sens à ses films. S'il s'est un peu calmé pour Vital, c'est que le récit parle de lui-même. En suivant un homme amnésique qui commence à se rappeler de son passé en jouant du scalpel dans son ancienne amoureuse (rien de moins), le réalisateur japonais signe une oeuvre à la fois poétique et grotesque, parfois plombée par un rythme inconsistant mais aussi d'excellentes idées narratives et visuelles. ***
jeudi 12 décembre 2013
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