Pour The Naked Kiss, Samuel Fuller a combiné des genres qui ne vont pas nécessairement ensemble: le mélodrame, le récit d'émancipation au féminin, la critique sociale, la satire surréaliste, la série B, le film d'exploitation, etc. Cela donne un récit - sur une prostituée qui tente de changer de vie - un peu dispersé et inégal, drôle et tragique à la fois, avec une once de sensationnalisme qui fait soupirer et de magnifiques images en noir et blanc. Le résultat n'est pas du même calibre que le précédent et excellent Shock Corridor du même auteur, mais il se laisse regarder avec plaisir. ***
lundi 2 décembre 2013
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire