samedi 1 janvier 2011

Top 50 de 2010: Dernière partie


Après un détour vers Las Vegas qui a obligé à mettre ce blog sur la glace pour quelques journées, voici finalement la fin de notre palmarès des meilleurs films de 2010 qui ont pris l'affiche en salles entre le 1er janvier et le 31 décembre.

50 à 31

30 à 11


10. The American d’Anton Corbijn
Un film d'art et d'essai contemplatif en noir et blanc pour les amateurs de Melville et de Jarmusch, avec un George Clooney au sommet de son art.

9. Revanche de Götz Spielmann
Une référence essentielle sur la vengeance que malheureusement trop peu de gens ont vu. Il est possible de se reprendre avec l'édition Criterion.

8. Black Swan de Darren Aronofsky
Sans être le meilleur titre du réalisateur, ce succulent divertissement sait hanter grâce à sa mise en scène extraordinaire, sa musique truculente et la composition de haut niveau de Natalie Portman.

7. Trois temps après la mort d’Anna de Catherine Martin
Le long métrage québécois le plus touchant et essentiel de l'année, avec une Guylaine Tremblay qui demeure sans aucune doute la meilleure actrice de la Belle Province.

6. Inception de Christopher
Un puissant délire qui se laisse regarder encore et encore, pour son scénario imaginatif, sa finale consternante et sa trame sonore légendaire. Classique en puissance.

5. Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul
Une Palme d'Or méritée qui se regarde comme un voyage mystique qui ne s'oubliera pas de sitôt. La méditation peut enfin débuter et qui sait où elle mènera le cinéphile.

4. Un prophète de Jacques Audiard
D'une grande maîtrise technique, ce nouveau sommet du cinéaste se savoure principalement pour l'apport de ses deux excellents interprètes.

3. Mother de Bong Joon-ho
Drame, suspense, satire: ce tour d'horizon des possibilités du septième art plaira à quiconque n'a pas peur d'affronter quelques sous-titres. Surtout que cela en vaut grandement la peine.

2. I am Love de Luca Guadagnino
L'histoire d'amour de l'année qui met les sens en ébullition. Tilda Swinton trouve là son meilleur rôle en carrière.

1. Le ruban blanc de Michael Haneke
Palme d'Or incontestée de 2009, ce drame qui évoque allègrement Bergman est une allégorie prenante sur les affres de l'humanité et de l'éducation. Tout simplement inoubliable.


Davantage de détails sur ces choix se retrouvent ici.

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