Petite semaine de sorties de films avec deux gros canons hollywoodiens qui s'affrontent.
Dans le coin gauche, la charmante animation Despicable Me (critique) du duo Pierre Coffin et Chris Renaud qui raconte la rivalité entre deux êtres détestables qui cherchent à devenir le plus grand méchant de la planète. Sans rivaliser avec un Toy Story 3, le récit s'avère mignon tout plein avec d'irrésistibles orphelines et des bibittes jaunes qui font plein de bruits étranges. À la fois comédie extrêmement drôle et conte aux émotions proéminentes, toute la famille risque de passer un bon moment.
Dans le coin droit, un (autre) remake, cette fois du plaisir coupable des années 1980 Predators (critique), où des êtres doivent combattre des entités invisibles. Bien que la première partie tienne en haleine, la seconde vient tout saboter avec son manque flagrant d'originalité. Peut-être pas le navet appréhendé (la réalisation de Nimrod Antal est très compétente et quelques affrontements méritent le détour), sauf qu'il serait temps de regarder en avant plutôt qu'en arrière. Et remplacer Arnold Schwarzenegger par Adrian Brody? Non, vraiment, ce n'était pas une très bonne idée.
Verdict: Despicable Me met rapidement k.o. Predators par décision unanime!
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