Une autre grosse semaine de sorties DVD avec A Single Man de Tom Ford. Injustement boudé à la dernière cérémonie des Oscars, il s’agissait pourtant d’un des meilleurs films américains de 2009. Il sera possible de voir et revoir cette histoire déchirante d’un professeur qui cherche à en finir. Mis en scène avec virtuosité, bénéficiant d’une image magnifique et d’une trame sonore terriblement soignée, le récit captive au plus haut point grâce à l’interprétation inoubliable de Colin Firth et celle de Julianne Moore. Du très grand cinéma.
Dans la vague des longs métrages de Ken Loach, SherryBabby de Laurie Collyer relate le difficile retour à la réalité d’une mère célibataire qui a passé quelques années en prison. Le ton alerte et la réalisation hyper réaliste sont au service du jeu sans faille de Maggie Gyllenhaal qui offre sa meilleure performance en carrière.
Surprise! Réputé pour ses efforts ennuyants comme King of Arthur, Shooter et Training Day, le réalisateur Antoine Fuqua revient à la charge avec le très solide Brooklyn’s Finest. Bien que le scénario ne gagnera pas un prix d’originalité (il s’agit encore une fois de corruption policière dans la vague des opus de Sidney Lumet), la progression demeure intéressante, et la distribution d’ensemble (qui comprend Richard Gere, Don Cheadle, Ethan Hawke et Wesley Snipes) se veut en tout point convaincante.
Production moyenne qui s’oublie en l’espace de quelques secondes, The Cake Eaters de Mary Stuart Masterson traite des secrets qui hantent deux familles. D’un intérêt limité sur le plan des enjeux dramatiques et des effets de mise en scène, le propos est une raison pour voir de bons acteurs (Bruce Dern, Melissa Leo, Jesse L. Martin, etc.) dans des rôles peu développés. Banal, à l’effigie du jeu de la jeune Kristen Stewart qui, à l’instar de Twilight, met tout en œuvre pour perdre sa virginité.
Dans la vague des longs métrages de Ken Loach, SherryBabby de Laurie Collyer relate le difficile retour à la réalité d’une mère célibataire qui a passé quelques années en prison. Le ton alerte et la réalisation hyper réaliste sont au service du jeu sans faille de Maggie Gyllenhaal qui offre sa meilleure performance en carrière.
Surprise! Réputé pour ses efforts ennuyants comme King of Arthur, Shooter et Training Day, le réalisateur Antoine Fuqua revient à la charge avec le très solide Brooklyn’s Finest. Bien que le scénario ne gagnera pas un prix d’originalité (il s’agit encore une fois de corruption policière dans la vague des opus de Sidney Lumet), la progression demeure intéressante, et la distribution d’ensemble (qui comprend Richard Gere, Don Cheadle, Ethan Hawke et Wesley Snipes) se veut en tout point convaincante.
Production moyenne qui s’oublie en l’espace de quelques secondes, The Cake Eaters de Mary Stuart Masterson traite des secrets qui hantent deux familles. D’un intérêt limité sur le plan des enjeux dramatiques et des effets de mise en scène, le propos est une raison pour voir de bons acteurs (Bruce Dern, Melissa Leo, Jesse L. Martin, etc.) dans des rôles peu développés. Banal, à l’effigie du jeu de la jeune Kristen Stewart qui, à l’instar de Twilight, met tout en œuvre pour perdre sa virginité.
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