Claude Lelouch a toujours fait du Claude Lelouch, pour le meilleur (ses premiers films) et pour le pire (les autres). Dans ce qui est possiblement son ultime tour de piste, il revisite sa carrière, se payant tellement d'hommages narcissiques que le récit de Finalement n'a aucune raison d'être tant il est confus et rétrograde, appartenant à une époque révolue. Comme toujours, les interprètes de talent sont coincés dans la peau de personnages sommaires esquissés, tandis que les mélodies omniprésentes versent dans le sucre le plus kitsch et collant. Overdose assurée. **
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