Se déroulant dans un Toronto loin de la carte postale, Darkest Miriam de Naomi Jaye traite d'aliénation et de solitude urbaine. Un peu trop littéraire, le récit au rythme parfois chancelant trouve toute sa pertinence non pas dans le quotidien de la protagoniste (le monde de la bibliothèque est quelque peu stéréotypé), mais dans sa façon de se lier avec un inconnu aussi perdu qu'elle. Les excellents comédiens possèdent une chimie indéniable et après quelques errances, l'effort se termine avec des scènes puissantes. ***
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