Les feux de forêt qui brûlent en arrière-plan deviennent la métaphore par excellence du Ciel rouge de Christian Petzold, où un romancier individualiste et antipathique finit par mépriser ses amis et son entourage (donc la collectivité) au profit de sa quête personnelle et futile. Le film résonne dans sa façon de mélanger humour, drame et romance, alors que la mise en scène chaude et sensuelle est au service de ses solides interprètes. ***1/2
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire