Se déroulant après le deuxième chapitre, Insidious: The Red Door ressasse les mêmes thèmes, cette fois sous l'angle de la relation père/fils. Rien de nouveau sous le soleil, si ce n'est que Patrick Wilson semble autant à l'aise derrière que devant la caméra. Ma critique est à lire sur Cinoche. **1/2
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