Arrêté peu avant la sortie du film, Jafar Panahi se fait plus sombre et même tragique avec Aucun ours, croisant les récits au sein de toiles d’araignées qui semblent emprisonner les personnages. Encore une fois, fiction et réalité ne forment qu'une seule ligne directrice dans cette exposition d'un système gangrené qui laisse peu de place à la liberté. ****
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