Pour son premier long métrage, Bertrand Tavernier adapte Simenon avec L'horloger de Saint-Paul (1974) un suspense psychologique prenant sur un père qui tente d'expliquer les fautes de son fils. Scénario limpide et puissant qui mélange le personnel et le politique, dialogues mordants, Philippe Noiret d'une profonde mélancolie: le film instaurait déjà un cinéaste à suivre de près. ****
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