Cinéaste engagé, Onur Karaman est de retour avec Respire, un quatrième long métrage qui traite de racisme en entremêlant différents destins. Un sujet noble qui manque cependant de nuance, à la fois dans le scénario quelque peu artificiel (la fin est plutôt douteuse) que le développement des personnages. La réalisation est cependant alerte et Roger Léger apporte une assurance certaine à une distribution malheureusement inégale. **1/2
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