La satire a toujours été un genre de prédilection de Radu Jude. Sans être aussi étincelant que ses dernières missives, La fille la plus heureuse du monde (2009) présentait déjà un cinéaste en plein possession de ses moyens, se moquant à la fois du monde de la publicité que de la société. Dommage que l'ensemble, brillant à ses heures, soit aussi répétitif. L'impact aurait sans doute été encore plus grand sous la forme du court métrage. ***
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