On en veut davantage des Palmes d'Or comme Titane, qui ose défier l'ordre établi à coup d'images choc et trash. En digne héritière de Cronenberg, Julia Ducournau joue avec les malaises, la matière, les fluides et les âmes damnées, accouchant d'une oeuvre forte et imparfaite qui marque amplement. Ma critique. ****
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