Comment succéder à un film aussi important que les 400 coups? Avec une oeuvre qui se trouve complètement aux antipodes comme Tirez sur le pianiste (1960). Désireux de ne pas se répéter et de surprendre les cinéphiles, François Truffaut adapte un roman noir américain, jouant constamment avec le genre en offrant son opus qui respecte le plus les codes de la Nouvelle Vague. Évidemment, cette élégante démonstration technique et scénaristique est au service d'une déchirante romance mélancolique où un homme - parfait Charles Aznavour en alter ego du cinéaste - tente de s'affranchir de sa timidité, de son passé hantant. ****
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