Éternel explorateur de l'adolescence, Jacques Doillon propose avec Le jeune Werther un étrange amalgame entre le réel (jeunes non professionnels, longs plans libres) et une théâtralité dans les dialogues, qui semblent émaner de la bouche d'un adulte. Cela donne un portrait sensible et délicat d'une âme qui cherche à comprendre le suicide d'un ami en se ressourçant auprès de ses camarades de classe. De quoi être touché même si l'abandon ne se fait pas automatiquement. ***1/2
lundi 19 mars 2018
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