Avec la semaine de relâche, il est plus difficile de voir toutes les nouvelles sorties au cinéma. Je pense toutefois avoir attrapé les plus importantes (et je me jure de voir Thoroughbreds et A Wrinkle of Time un jour)...
Une famille syrienne: Ce rare drame de guerre se situant au niveau de la population civile s'apparente à un angoissant huis-clos où la terreur présentée hors champs risque à chaque moment d'aspirer les membres d'un clan barricadé dans leur maison. Un cauchemar peuplé de dilemmes moraux qui fait battre le coeur plus rapidement. ***1/2
Une famille syrienne: Ce rare drame de guerre se situant au niveau de la population civile s'apparente à un angoissant huis-clos où la terreur présentée hors champs risque à chaque moment d'aspirer les membres d'un clan barricadé dans leur maison. Un cauchemar peuplé de dilemmes moraux qui fait battre le coeur plus rapidement. ***1/2
Chien de garde: Voilà un premier long métrage électrisant de la part de Sophie Dupuis, qui met k.o. avec sa mise en scène haletante et sa présentation d'une famille toxique dans la lignée de celle de James Gray (surtout We Own the Night et The Yards). Sans doute qu'il y a quelques clichés et que la dernière ligne droite est moins convaincante. Mais ses acteurs s'investissent totalement, principalement Théodore Pellerin dans un rôle qui fera date. ***
Bras de fer: Ce documentaire de Jonathan et Jean-Sebastian Seaborn qui retrace les combats citoyens d'un couple pour améliorer les conditions environnementales de leur ville ne manque pas de happer. Le traitement télévisuel limite toutefois la portée et la tenue du propos. **1/2
The Strangers: Prey at Night: Cette suite/variation inutile d'un succès de 2008 ressasse la même formule (crimes brutaux, personnages insignifiants). Il faut toutefois voir le tout comme une farce tant les moments réussis peinent à convaincre devant autant de banalité. Get Out a élevé le genre, pourquoi alors le rabaisser? **
Juggernaut: Présenté dans quelques cinémas et bientôt offert en vidéo sur demande, ce drame sur un suicide qui n'est peut-être pas un suicide bénéficie d'une réalisation vigoureuse de Daniel DiMarco et d'interprètes dévoués. De quoi faire oublier un script plus ou moins crédible qui tourne rapidement en rond. **1/2
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