Bunuel, la transgression des rêves de Pierre-Henri Gibert est ce type de documentaire trop court (format télé de 52 minutes), chronologique et didactique que l'on retrouve très souvent. Malgré tout, impossible de ne pas être intéressé par ce portrait du grand cinéaste espagnol, qui revient surtout sur sa phase avec les surréalistes. L'information est bien vulgarisée, les liens avec son oeuvre s'avère limpide grâce à de nombreuses archives et ultimement, on en apprend un peu plus sur cet homme qui a marqué au fer blanc le septième art. ***
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