Dans la tradition du film circulaire où l'on change quelques fois de personnages pendant le récit pour ne plus jamais se retourner (le Cercle de Jafar Panahi est un des sommets en la matière), En attendant les hirondelles de Karim Moussaoui fait bonne impression. Le cinéaste interroge avec intelligence et sensibilité la société algérienne dans ses relations entre hommes et femmes, entre passé et présent. Bien que quelques passages puissent paraître trop écrits, la mise en scène est particulièrement bien huilée (superbe utilisation de la musique), l'interprétation appropriée et les dilemmes moraux qui en ressortent ne manquent pas de happer. Au Centre Phi. ***1/2
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