Le cinéma québécois est à l'honneur cette semaine au sein des sorties au cinéma...
La part du diable: Cette suite spirituelle de La mémoire des anges du même Luc Bourdon utilise cette fois une quantité phénoménale d'archives de l'ONF des années 70 afin de créer un documentaire étonnant, sans voix off contraignante. C'est à la fois un tour de force cinématographique et un mémento précieux sur l'histoire et le Québec à la croisée des chemins. ***1/2
All You Can Eat Bouddha: Voilà un premier long métrage bizarroïde de Ian Lagarde, qui puise aux eaux de Lynch et de Bunuel dans sa façon de traiter avec satire du capitalisme. Le propos peut paraître mince, mais il est compensé par une forte démarche artistique, notamment sur le son. ***
All You Can Eat Bouddha: Voilà un premier long métrage bizarroïde de Ian Lagarde, qui puise aux eaux de Lynch et de Bunuel dans sa façon de traiter avec satire du capitalisme. Le propos peut paraître mince, mais il est compensé par une forte démarche artistique, notamment sur le son. ***
Black Panther: Impossible de ne pas être fébrile devant cette rare superproduction de super-héros qui célèbre le talent noir devant et derrière la caméra. Si le récit ne casse absolument rien (tous les clichés de Marvel y sont), on ne peut qu'admirer son efficacité et sa façon de créer des liens entre la fiction et le réel. ***
Les faux tatouages: Cette oeuvre mélancolique sur la fin de la jeunesse permet au réalisateur Pascal Plante d’affûter son style (longs plans, goût pour les dialogues et la musique). S'il y a encore des maladresses, il faut avouer que la romance fonctionne plutôt bien et que les interprètes livrent de touchantes prestations. ***
Ma critique
Early Man: Sans égaler ses classiques Wallace & Gromit et Chicken Run, Nick Park offre une nouvelle animation charmante et divertissante, qui plaira à toute la famille à défaut de laisser des souvenirs impérissables. ***
Ma critique
Poop Talk: Un documentaire sur les excréments? Pourquoi pas. À condition évidemment qu'il soit intéressant et/ou drôle. Ce n'est pas le cas de cet effort d'Aaron N. Feldman qui multiplie les vains propos d'humoristes américains (comme Kumail Nanjiani). *1/2
Les faux tatouages: Cette oeuvre mélancolique sur la fin de la jeunesse permet au réalisateur Pascal Plante d’affûter son style (longs plans, goût pour les dialogues et la musique). S'il y a encore des maladresses, il faut avouer que la romance fonctionne plutôt bien et que les interprètes livrent de touchantes prestations. ***
Ma critique
Early Man: Sans égaler ses classiques Wallace & Gromit et Chicken Run, Nick Park offre une nouvelle animation charmante et divertissante, qui plaira à toute la famille à défaut de laisser des souvenirs impérissables. ***
Ma critique
Poop Talk: Un documentaire sur les excréments? Pourquoi pas. À condition évidemment qu'il soit intéressant et/ou drôle. Ce n'est pas le cas de cet effort d'Aaron N. Feldman qui multiplie les vains propos d'humoristes américains (comme Kumail Nanjiani). *1/2
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