Immense succès au box-office lors de sa sortie il y a 15 ans, Séraphin, un homme et son péché de Charles Binamé exploite une fibre nostalgique, soignant à outrance ce qu'on peut voir (décors, costumes, direction artistique...) tout en oubliant de donner un véritable souffle cinématographique à l'ensemble. Si Pierre Lebeau campe un méchant royal aux côtés d'une touchante Karine Vanasse, la vacuité des dialogues et des situations kitsch est considérable. À la Cinémathèque québécoise. **1/2
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