Les semaine se suivent et se ressemblent avec très peu de nouveautés qui prennent l'affiche au cinéma. Ce qu'on a hâte que le TIFF se termine...
mother!: Rien n'est à l'épreuve de Darren Aronofsky qui le prouve à nouveau avec ce cauchemar malsain, maniéré mais si hallucinant et maculé d'humour noir. On embarque amplement par ses qualités cinématographiques plus que son symbolisme bon marché. Une expérience comme il s'en fait peu. ***1/2
Let There be Light: Cet intéressant documentaire de Mila Aung-Thwin et Bob Moore traite d'un thème fascinant (la quête d'une énergie propre) avec humour tout en vulgarisant parfaitement son sujet. Le traitement technique de belle tenue aurait toutefois pu être encore plus cinématographique. ***
Past Life: Bien qu'un peu prévisible et moralisateur, ce suspense racé sur les traumas du passé présente une émouvante histoire vraie, une mise en scène fignolée de la part d'Avi Nesher et un jeu relevé des interprètes. ***
Past Life: Bien qu'un peu prévisible et moralisateur, ce suspense racé sur les traumas du passé présente une émouvante histoire vraie, une mise en scène fignolée de la part d'Avi Nesher et un jeu relevé des interprètes. ***
American Assassin: On l'a déjà vu 100 fois cette propagande américaine de bas étage et peu subtile. Même si elle est réalisée par un cinéaste talentueux (Michael Cuesta de Kill the Messenger) et que Michael Keaton y campe un mentor qui n'a pas froid aux yeux, la grande stupidité de l'ensemble saute rapidement aux yeux. **
Et au pire, on se mariera: Pauvre Léa Pool! Après le satisfaisant La passion d'Augustine, le long métrage le plus populaire et récompensé de sa carrière, elle offre le pire effort de sa filmographie avec ce drame ridicule et consternant sur une adolescente qui est mêlée à une sombre affaire. Rien ne tient en place, l'interprétation y est inégale et la mise en scène se vautre dans l’esbroufe. *1/2
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