Avant de considérablement s'assagir, Gregg Araki concoctait des oeuvres sexuelles trash et fauchées en jouant avec les conventions. Sur The Living End, il refait Thelma & Louise à la sauce Godard, partant dans une virée sans fin qui peut paraître verbeuse et précieuse mais qui n'est jamais ennuyante. Un film presque culte qui ravit et déstabilise à la fois. ***1/2
vendredi 5 août 2016
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