Il y en a vraiment pour tous les goûts cette semaine au sein des sorties au cinéma. Un film d'époque sort toutefois du lot...
Maître des répliques hilarantes qui s'amuse à pourfendre le cadre social établi, Whit Stillman trouve dans le Love and Friendship de Jane Austen un texte pétillant et d'une rare fraîcheur. S'il faut comme toujours être bien accroché à ce ton verbeux, il y a Kate Beckinsale qui crève littéralement l'écran. ***1/2
Mon entrevue avec le cinéaste
Chronique douce-amère de jeunes gens qui tentent de s'émanciper de leurs parents en trouvant leur propre chemin, Wedding Doll de Nitzan Gilady est un petit film globalement intéressant, prévisible mais touchant et bien interprété. ***
Énième documentaire sur une importante chanteuse qui est décédée beaucoup trop tôt, Janis: Little Girl Blue d'Amy Berg emprunte une construction chronologique extrêmement typée. Il y a pourtant suffisamment d'archives inédites et d'impressionnants extraits de spectacles pour ne pas en ressortir ému. ***
Maître des répliques hilarantes qui s'amuse à pourfendre le cadre social établi, Whit Stillman trouve dans le Love and Friendship de Jane Austen un texte pétillant et d'une rare fraîcheur. S'il faut comme toujours être bien accroché à ce ton verbeux, il y a Kate Beckinsale qui crève littéralement l'écran. ***1/2
Mon entrevue avec le cinéaste
Chronique douce-amère de jeunes gens qui tentent de s'émanciper de leurs parents en trouvant leur propre chemin, Wedding Doll de Nitzan Gilady est un petit film globalement intéressant, prévisible mais touchant et bien interprété. ***
Énième documentaire sur une importante chanteuse qui est décédée beaucoup trop tôt, Janis: Little Girl Blue d'Amy Berg emprunte une construction chronologique extrêmement typée. Il y a pourtant suffisamment d'archives inédites et d'impressionnants extraits de spectacles pour ne pas en ressortir ému. ***
Le documentariste Jean-François Lesage adore l'errance de la nuit. Après son naïf Conte du mile End, il propose Un amour d'été, un essai sur la jeunesse estivale. Sa photographie soignée et son jeu constant sur les images et le son (la trame sonore de Gold Zebra est géniale) force l'admiration. Mais lorsque les êtres humains/personnages ouvrent la bouche et livrent leurs dialogues coincés, rien ne va plus. **1/2 On découvrira en première partie l'agréable court métrage muet Métro de Nadine Gomez (Horse Palace), dont la démarche honnête ressemble au trop peu vu Transatlantique. ***
Premier tour de piste de Louis Garrel derrière la caméra qui s'est inspiré d'un scénario de Christophe Honoré, Les deux amis ressemble à une comédie américaine des années 80 ponctuée de nombreux clins d'oeil appuyés à la Nouvelle Vague. Un récit léger, superficiel et très oubliable, qui irrite plus d'une fois. **
Récit de survie sur deux soeurs qui sont campés par les excellentes Ellen Page et Evan Rachel Wood, Into the Forest de Patricia Rozema souffre d'une construction beaucoup trop appuyée qui tente en vain de manipuler l'émotion alors qu'il n'y a rien derrière ces personnages en deux dimensions. **
Ma critique
Documentaire sur un couple différent qui aspire à la normalité, Transfixed d'Alon Kol exploite un peu trop ses sujets. S'il y a des bonnes intentions quelque part, l'approche s'avère trop lourde et sensationnaliste. *1/2
Légèrement moins médiocre que son prédécesseur, Teenage Mutant Ninja Turtles: Out of the Shadows de Dave Green demeure malgré tout une superproduction sans grand intérêt, qui privilégie une formule usée qui s'adresse seulement aux fans invétérés. *1/2
Ma critique
Récit de survie sur deux soeurs qui sont campés par les excellentes Ellen Page et Evan Rachel Wood, Into the Forest de Patricia Rozema souffre d'une construction beaucoup trop appuyée qui tente en vain de manipuler l'émotion alors qu'il n'y a rien derrière ces personnages en deux dimensions. **
Ma critique
Documentaire sur un couple différent qui aspire à la normalité, Transfixed d'Alon Kol exploite un peu trop ses sujets. S'il y a des bonnes intentions quelque part, l'approche s'avère trop lourde et sensationnaliste. *1/2
Légèrement moins médiocre que son prédécesseur, Teenage Mutant Ninja Turtles: Out of the Shadows de Dave Green demeure malgré tout une superproduction sans grand intérêt, qui privilégie une formule usée qui s'adresse seulement aux fans invétérés. *1/2
Ma critique
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