Bertrand Bonello frappe fort avec Le pornographe. En plus de s'intéresser à un art qui est devenu une industrie, il juxtapose la quête de son héros à celui d'une nation dont les idées révolutionnaires et contestataires ne tiennent plus. Vieillir n'est pas drôle bien que la jeunesse sera toujours jeune et bien que le film manque un peu de fermeté, il distille un parfum de mélancolie qui est loin d'être désagréable. ***1/2
dimanche 26 juin 2016
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