Il y a de tout dans Genocide, une jubilatoire série B de Kazui Nihonmatsu. Il est question de méchants insectes, d'une environnementaliste cinglée, d'une menace nucléaire, des troubles liés aux camps de concentration nazis et bien plus encore. Même s'il est sans queue ni tête, le récit fait rire et dérange tout à la fois, utilisant tous les clichés possibles et inimaginables pour les adapter à son époque (1968), sans évidemment oublier les psychotropes. Cela donne une oeuvre malade qui est loin d'être saine d'esprit. **1/2
vendredi 6 mai 2016
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