Pour ceux et celles qui peuvent profiter de la dernière fin de semaine du Festival de Cannes, il y a de très bons films qui prennent l'affiche cette semaine...
Sur un sujet brûlant d'actualité impliquant les vagues de migrants qui déferlent dans des pays étrangers et qui ne trouvent pas l'Eldorado espéré, Hind Benchekroun et Sami Mermer offrent avec Callshop Istanbul un puissant documentaire sensible à l'échelle humaine. Un brin répétitif, quoique très touchant et éclairant sur la situation présente, entre solitude, espoir et désillusions. ***1/2
A Bigger Splash est le nouveau film sur l'amour interdit de la part de Luca Guadagnino (I am Love) et il est vraiment très chaud, conviant d'excellents comédiens (dont Ralph Fiennes et Tilda Swinton), une mise en scène alerte et un regard acidulé sur les relations humaines. L'idéal pour se réchauffer et oublier la minceur du propos. ***1/2
Critique
On rit énormément en regardant The Nice Guys, un suspense comique où deux hommes sont chargés de retrouver une jeune fille qui manque à l'appel. Le duo formé de Russell Crowe et de Ryan Gosling fonctionne à plein régime et quelques séquences s'avèrent désopilantes. Ce n'est toutefois pas suffisant pour compenser la minceur absolue du propos... ***
Critique
Sur un sujet brûlant d'actualité impliquant les vagues de migrants qui déferlent dans des pays étrangers et qui ne trouvent pas l'Eldorado espéré, Hind Benchekroun et Sami Mermer offrent avec Callshop Istanbul un puissant documentaire sensible à l'échelle humaine. Un brin répétitif, quoique très touchant et éclairant sur la situation présente, entre solitude, espoir et désillusions. ***1/2
A Bigger Splash est le nouveau film sur l'amour interdit de la part de Luca Guadagnino (I am Love) et il est vraiment très chaud, conviant d'excellents comédiens (dont Ralph Fiennes et Tilda Swinton), une mise en scène alerte et un regard acidulé sur les relations humaines. L'idéal pour se réchauffer et oublier la minceur du propos. ***1/2
Critique
On rit énormément en regardant The Nice Guys, un suspense comique où deux hommes sont chargés de retrouver une jeune fille qui manque à l'appel. Le duo formé de Russell Crowe et de Ryan Gosling fonctionne à plein régime et quelques séquences s'avèrent désopilantes. Ce n'est toutefois pas suffisant pour compenser la minceur absolue du propos... ***
Critique
Les fans de Pedro Almodovar raffoleront du Viva de Paddy Breathnach, un émouvant récit familial sur un jeune homme qui aime se déguiser en femme et son père ancien boxeur. L'ensemble classique réserve peu de surprises, mais il est suffisamment bien fait et l'interprétation demeure sincère. ***
Comédie dramatique sur la nécessité de faire la paix avec le passé, À la vie de Jean-Jacques Zilbermann est parsemé d'idée bien attentionnée et d'actrices distinguées (il y a même Suzanne Clément). Le scénario manque cependant de souplesse et il s'enlise plus souvent qu'autrement dans les facilités. **1/2
Jeremy Irons trouve un de ses meilleurs rôles en carrière depuis longtemps dans The Man Who Knew Infinity de Matthew Brown. C'est seulement dommage que ce biopic sur un important mathématicien indien soit si conventionnel et réalisé mollement, avec plein de liens sentimentaux et religieux qui ne servent qu'à se détourner de l'essentiel. **
Après quelques solides longs métrages comme Les émotifs anonymes et Marie Heurtin, Jean-Pierre Améris échoue à convaincre avec Une famille à louer, une comédie appuyée et moralisatrice sur la famille, le bonheur et la pauvreté. Même la chimie entre Benoît Poelvoorde et Virginie Efira ne prend pas. **
Comédie dramatique sur la nécessité de faire la paix avec le passé, À la vie de Jean-Jacques Zilbermann est parsemé d'idée bien attentionnée et d'actrices distinguées (il y a même Suzanne Clément). Le scénario manque cependant de souplesse et il s'enlise plus souvent qu'autrement dans les facilités. **1/2
Jeremy Irons trouve un de ses meilleurs rôles en carrière depuis longtemps dans The Man Who Knew Infinity de Matthew Brown. C'est seulement dommage que ce biopic sur un important mathématicien indien soit si conventionnel et réalisé mollement, avec plein de liens sentimentaux et religieux qui ne servent qu'à se détourner de l'essentiel. **
Après quelques solides longs métrages comme Les émotifs anonymes et Marie Heurtin, Jean-Pierre Améris échoue à convaincre avec Une famille à louer, une comédie appuyée et moralisatrice sur la famille, le bonheur et la pauvreté. Même la chimie entre Benoît Poelvoorde et Virginie Efira ne prend pas. **
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