Plein de grands cinéastes sortent leur nouveau film cette semaine et comme c'est impossible de tout voir, il faut faire des choix déchirants.
Il ne faudra toutefois pas manquer Trois souvenirs de ma jeunesse d'Arnaud Desplechin, un opus vibrant sur l'amour et la façon dont les souvenirs revivent à l'écran. ***1/2
Tout aussi essentiel est Jafar Panahi's Taxi, un long métrage tourné dans la clandestinité qui en dit long sur la société iranienne. ***1/2
Ce biopic sur Steve Jobs en forme d'opéra qui reprend la structure du Mishima de Paul Schrader aurait été immense si le scénario ne portait pas autant sur les dimensions familiales du sujet, si Danny Boyle ne faisait pas tout pour distraire le spectateur avec sa mise en scène tape à l'oeil et si la finale n'était pas aussi ratée. Reste une oeuvre très intéressantes, dominée par des dialogues forts et d'excellents comédiens. ***
Ma critique
Ma critique
Autant le Bridge of Spies de Steven Spielberg fascine dans sa première partie complexe et haletante, autant elle déçoit par la suite en épousant pratiquement toutes les conventions hollywoodiennes. ***
Sélection de l'Allemagne pour la prochaine cérémonie des Oscars, Le labyrinthe du silence du nouveau venu Giulio Ricciarelli ressasse de façon classique mais élégante un événement oublié des conséquences de la Seconde Guerre mondiale. ***
Il y a des années que Guillermo del Toro n'avait pas pondu un effort aussi oubliable que Crimson Peak, un conte gothique très peu effrayant qui se termine dans la série B grotesque. **1/2
Deepa Metha s'essaye au film de gangsters avec Beeba Boys et le résultat déçoit tant le scénario ne s'éloigne jamais des sentiers battus. **
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