Le réalisateur Michael Rowe en avait impressionné plusieurs avec son excellent premier long métrage Année bissextile. De quoi désenchanter en voyant Early Winter, une coproduction québécoise trop écrite et prévisible sur un employé d'une maison de retraite en plein vide existentiel. Paul Doucet offre un jeu senti, plus crédible que celui de Suzanne Clément avec son faux accent russe et si l'effort met le doigt sur de douloureuses blessures, il le fait souvent trop maladroitement. **1/2
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