Question de patienter jusqu'à la sortie de The Assassin, on se permet de revoir quelques films du grand Hou Hsiao-hsien. Dans son délicieux Café Lumière, il rend hommage à l'immense Ozu, concoctant un récit doux et humaniste sur une femme qui refuse de nouer une relation avec l'homme qui l'a mise enceinte. Contemplatif et volontairement répétitif, ce baume fait de soleil et de train met instantanément de bonne humeur même si l'on ne retrouve pas nécessairement la maestria des deux grands cinéastes. ***1/2
mercredi 28 octobre 2015
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