Revoir Sunshine à la Cinémathèque québécoise? Le choix peut paraître bizarre. Pourtant, il s'agit d'une oeuvre de science-fiction un peu mésestimée de la part de Danny Boyle, qui débute si efficacement à la façon de 2001 et Solaris pour se perdre à la fin dans de la copie de Alien et Cube. Entre temps, le cinéaste arrive à soigner son atmosphère à l'aide d'images saisissantes et d'une bande-son toujours recommandable, offrant le meilleur de comédiens expérimentés. À redécouvrir. ***1/2
samedi 7 février 2015
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire