La bourgeoisie détruit tout. Ce thème récurent dans le cinéma de Chabrol est encore une fois au coeur de La fleur du mal, une satire pas très subtile mais efficace où deux crimes mettent à mal l'équilibre d'une famille. Devant une intrigue qui cache mal ses fils blancs se tient une réflexion assez probante sur le pouvoir, qui est interprétée par de solides comédiens (Nathalie Baye, Benoît Magimel, la trop rare Mélanie Doutey). Même un effort mineur du maître demeure un long métrage intéressant qui cache bien entendu quelque chose. ***
lundi 16 février 2015
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